Quel intermédiaire pour l’admissaire ? La question n’est pas unanime parmi les professionnels de l’immobilier. Si de grands réseaux d’agences immobilières proposent de signer des compromis ou promettent de vendre à l’agence, les titulaires de licence sont libres de faire ce qu’ils veulent. Certains signent des précontrats en interne, ce qui leur permet de s’adapter aux horaires de leurs clients, alors que d’autres préfèrent laisser la responsabilité de sécuriser la transaction au notaire. Sans parler de leur indépendant qui, en règle générale, considère plus à l’aise de laisser la rédaction du document à ceux qui ont le plus haut niveau d’expertise et de renseignement juridique : notaires… Nous devrions donc signer les compromis de vente à l’étude et laisser les notaires participer à un contrat parfaitement établi, en tenant compte des mesures des spécificités de chacun, ainsi que de celles de la vente, ou ont besoin d’agents immobiliers, de bec verseur et de clous, de défendre leurs compétences et de les utiliser.expérience pour apprécier leur travail et justifier leur salaire ?
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La faute de la loi Alur !
Une chose est certaine, après la loi Alur et toutes les perturbations qui ont suivi, de nombreux professionnels ont progressivement abandonné la rédaction de précontrats au profit des notaires. Malgré le fait que prendre rendez-vous dans une étude notariée prend du temps, jamais moins de quinze jours, en raison du surmenage, et risque donc que l’acheteur change d’avis.« En vertu d’une loi de 2014 relevant du ministère de Madame Duflot, les agents immobiliers sont interdits de tenir leurs promesses de vente ou de compromis, explique Vincent Chauveau, notaire à Nantes. Cependant, les agents immobiliers qui effectuent le même travail de trading immobilier effectuent les opérations les plus souvent exposées. Mais cela devient de plus en plus rare. Face à la complexité du droit et aux réformes successives, certains grands détaillants d’agences immobilières refusent de le faire au nom du commerce.politique. Les agents immobiliers et les agents immobiliers sont payés de la même manière pour le même travail, mais pas avec les mêmes limites. À mon avis, les négociations impliquent une participation active à la rédaction de l’accord. »
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Apprenez à nouveau comment aimer rédiger des compromis commerciaux
Jean-François Buet, Président de Fnaim, regrette cette évolution. Selon lui, le professionnel qui n’écrit pas les admissions n’est qu’un détenteur de clés et un ouvre-porte. Jouer de la musique ce que les parties veulent dans un document légal et conventionnel fait aussi partie de la négociation ; un acheteur connaît tous les éléments de l’entente, dit-il. Qui mieux que de transcrire ces éléments dans un document impliquant les parties en fonction de ce qu’elles veulent vraiment ? Lorsque vous avez travaillé sur un dossier, quand c’est vous qui tenez le stylo, c’est très gratifiant… Vous devriez être heureux d’expliquer les choses, d’organiser les deux endroits. Et faites son travail avecpassion et cœur. »
Justifier les frais
Marine Deleigue, propriétaire d’une agence Solvimo-Nestenn dans le 6e arrondissement de Lyon, partage ce point de vue. De plus, chez elle, tous les compromis commerciaux sont signés à l’agence. Un moyen d’accomplir pleinement sa mission et d’accompagner ses clients à tous les stades. « Signer à l’agence nous permet de suivre l’acheteur et de justifier nos honoraires », a-t-elle. De plus, sur simple demande, envoie le plan vente de compromis au notaire de chacune des parties pour correction. Enfin, afin de garantir la transaction, une simulation de financement peut être associée au compromis. Un plus que les études notariales n’offrent pas. « Nous ne signons jamais de compromis sans aucun compromis. Nous avons besoin d’une simulation de la banque. C’est un élément important, car si le vendeur est retrouvé sans acheteur après 45 jours, c’est ennuyeux… Le notaire ne demande pas cela. »
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Apparemment, Philippe Buyens, chef Conseiller du réseau Capifrance Real Estate Consultants Network, a une vision différente, car les représentants commerciaux n’ont pas le droit de signer un compromis commercial. Selon lui, le meilleur endroit pour les parties à un contrat qui prendra fin, incontesté, est l’expert : « La législation évolue rapidement et de manière restrictive : il faut disposer d’un excellent niveau d’expertise. Dans ce cas, pourquoi ne pas faire aussi des diagnostics ? Il ne faut pas oublier que tout est joué dans contrat. En cas d’abandon d’une vente, c’est souvent dans la comptabilité d’exercice que le problème est survenu. Laissons la partie juridique et contractuelle à l’expert et conservons la partie commerciale et commerciale. »
Un compromis commercial de 30 minutes
Pour que les agents immobiliers puissent rédiger de manière simple sans connaissances juridiques spécifiques un compromis commercial adapté aux projets de leurs clients, il existe aujourd’hui des outils informatiques intelligents et dynamiques. Tissot, éditeur de pétitions, spécialiste des formes juridiques, propose des documents compréhensibles qui sont constamment mis à jour. Tout comme Modelo Doc « Au fur et à mesure que l’acte est fait, l’agent immobilier doit répondre à un certain nombre de questions détaillées Etienne Petit, cofondateur de Modelo Doc. Nous avons créé toutes les hypothèses pour que l’agent immobilier ne choisisse que la solution correspondant à sa situation et, en fonction de cela, la clause juridique correcte est automatiquement créée. Il est donc impossible de commettre une erreur. »